Squid : « Il y a de l’espoir dans cet album »
Il est déjà considéré comme l’un des meilleurs albums de cette année. Ambitieux, complexe et porté par les sentiments contrariés de notre époque, Bright Green Field débroussaille tout sur son passage pour imposer un nouveau post-punk énergique et expérimental, touchant aussi au jazz, au krautrock ou encore au dub. La Face B a eu l’immense d’échanger avec deux aliénés de Squid Anton Pearson, guitare-bassiste-chanteur et Laurie Narkivell, bassiste-trompettiste, pour découvrir davantage sur les dessous de cet opus.