Rencontre avec KingJu de Stupeflip
Il parait qu’il ne faut jamais rencontrer ses idoles, on a décidé de ne pas suivre cet adage en interviewant longuement KingJu de Stupeflip.
Il parait qu’il ne faut jamais rencontrer ses idoles, on a décidé de ne pas suivre cet adage en interviewant longuement KingJu de Stupeflip.
Si nous sommes des chroniqueurs musicaux, on est avant tout des amoureux de la musique. Alors il arrive par moment ou malgré la promo et le sérieux dont on peut faire preuve, c’est le fan qui prend le pas sur le « journaliste ». C’est ce qui nous est arrivé avec Cadillac. On ne l’avait pas vraiment vu venir, on avait bien préparé notre interview, mais arrivé devant le gaillard c’est le môme de 15 ans qui a pris le dessus. Celui qui a les yeux qui brillent et les mains qui tremblent face à une personne qu’il admire depuis son adolescence. Et à ce moment là, l’interview se transforme en discussion. La preuve ici bas.
Depuis dix ans maintenant, Marvel a démocratisé l’idée d’univers étendu au cinéma. Par cela, on entend des films reliés les uns aux autres par un univers commun et qui se répondent. En musique, il y a bien sûr des collectifs, des formations et des albums solos, mais on n’avait jamais vraiment eu d’univers étendu. C’est désormais chose faite avec Originul, le premier album de Cadillac qui prolonge donc l’univers si spécifique de Stupeflip. Mais dis-moi papa, Cadillac, il est vide aussi ?