Myra nous raconte Saudade Palace titre par titre
Myra à récemment dévoilé Saudade Palace. À cette occasion la musicienne nous raconte son album titre par titre.
Myra à récemment dévoilé Saudade Palace. À cette occasion la musicienne nous raconte son album titre par titre.
Esthète des mots et des sons, nous avons longuement discuté avec Bertrand Belin autour de son dernier album, Tambour Vision.
Rencontre avec les drôles d’oiseaux de Las Aves à l’occasion de la sortie de leur excellent I’ll never give up on love until I can put a name on it.
Les deux parisiens du groupe SEIN nous livrent un second EP. À 20 et 21 ans, Balth et Jo varient les styles musicaux qui ont fait vibrer leurs années collèges : la grime anglaise, la musique électronique et le rap.
Disque ambitieux, album concept sur l’amour, l’acceptation et l’espoir, I’ll Never Give Up On Love Until I Can Put A Name On It, peut être vu comme une thérapie, autant pour ceux qui l’ont écrit que pour ceux qui vont l’écouter.
En retard. Tout le temps. C’est un peu nous, ça. Mais juré, on est bien décidés à se rattraper. On commence donc avec notre interview de Hyacinthe. On avait rencontré le garçon peu avant la sortie de son très bon RAVE. Ce soir, il fera monter la température de la Maroquinerie. Le moment idéal pour vous dévoiler cette conversation où l’on parle de RAVE justement, de ses besoins d’explorations et de mise en danger et de ce que le rap français est devenu en 2019.
Depuis quelques années déjà, le rap est devenu la nouvelle pop. Comme tout mouvement populaire, il finit par se rationaliser autour de deux lignes, de deux courants plus important que les autres : ceux qui cherchent leur inspirations du côté de l’Amérique et ceux qui vont flirter avec la chanson française. Pourtant il existe une troisième voie, plus sinueuse et imprévisible, c’est celle qu’a décidé d’emprunter Hyacinthe avec son nouvel album RAVE.
Bientôt 10 ans déjà que Hervé Salters nous fait danser chez nous et en concert. Si le projet existe depuis 2003, notre rencontre avec celui qui fait du trampoline derrière son synthé s’est faite avec l’exceptionnel Good City For Dreamers. Une petite décennie ou presque pour nous amener à Carry No Ghosts l’année dernière. Mais le bonhomme a de la suite dans les idées et le voilà déjà de retour avec un paquet d’inédits sous le bras, proposé sous le nom de Late Delivery.
Il y a deux ans, Malik Djoudi nous avait séduit avec son premier album Un. En douceur, en prenant son temps, la musique du poitevin avait trouvé sa place dans nos vies. Une place importante, renforcée par des rencontres live électrique, intense et toujours sur le fil de l’émotion. La justesse de l’émotion et ses multiples facettes reste le point central de Tempéraments, le superbe deuxième album de Malik Djoudi.
2019 n’a que trois mois et elle nous a déjà offert des albums qui étaient aussi attendus qu’ils sont au final réussis. Un début d’année exaltant pour les chroniqueurs musicaux que nous sommes. Tempéraments, le nouvel album de Malik Djoudi va paraître ce vendredi, fait partie de cette vague d’albums géniaux qui nous ont plus qu’emballés. On n’a donc pas résisté à l’opportunité de faire passer le poitevin au feu de nos questions. On a parlé de sa manière de composer, du poids des mots et forcément un peu d’Etienne Daho.
Il y a des noms qu’on choisit et des noms qui s’imposent à nous comme une évidence. En ce qui concerne Inüit, c’est la deuxième option qui semble prendre le pas. Car Inüit signifie « être humain » et avant d’être une histoire de musique, l’aventure de la bande est avant tout une histoire d’amitié et donc d’humanité. Six copains de presque toujours qui décident de niquer la vie d’adulte en faisant ce qu’ils aiment et en le faisant ensemble. Alors on met son casque et on lance la lecture : moteur, son, Action !