(PORTFOLIO) Les Dropkick Murphys : raz-de-marée punk celtique a Bordeaux

Les légendes du rock celtique de Boston ont enflammé l’Arkéa Arena devant un public chauffé à blanc. Fidèles à leur réputation, les Dropkick Murphys ont livré un concert sauvage et fédérateur. Ils ont ainsi mêlé riffs déchaînés, hymnes à hurler en chœur et énergie brute à faire vibrer la salle. Une tempête sonore celtique où guitares, cornemuses et chants de marins ont envahi l’espace, dans une atmosphère de fête, de rébellion et de fraternité rock. Retour en images sur un concert survolté, ancré entre ferveur punk, esprit celte et fraternité rock!

Retrouvez également le travail d‘Alexia Arrizabalaga-Burns (sous le pseudo Troubleshooteur) sur son site et sur Instagram.

Sous les cris d’une foule déjà électrisée, les Dropkick Murphys ont fait une entrée fracassante sur la scène de l’Arkéa Arena. En effet, dès les premières notes, le ton était donné. Un rythme effréné, sans aucun temps mort tout au long du concert, mené tambour battant par des musiciens en pleine maîtrise. Guitares rugissantes, cornemuses, flûtes et accordéons se sont entremêlés dans un chaos joyeux et parfaitement orchestré. Ainsi fidèle à sa réputation de showman, Ken Casey est allé droit vers le public au premier rang. Poignées de mains, refrains partagés, regards complices, les fans sont ravis! Donc, impossible de résister à cette communion : chaque chanson devenait une invitation à sauter, hurler et célébrer tous ensemble.

Dans la fosse, c’était la liesse totale. En effet, une farandole de danses, de pogos et de rires a embrasé la soirée, transformant l’Arkéa Arena en un gigantesque pub grace à l’énergie brute et à la camaraderie du groupe. Les musiciens, tels des pirates rentrant enfin au port, ont célébré leur retour à Bordeaux avec une ferveur contagieuse. Leur puissance scénique, à la fois rugueuse et sincère a ainsi tout balayé sur son passage. En fait,, on danse et on chante partout, dans la fosse comme dans les gradins. Les Dropkick Murphys ont offert un concert où l’esprit punk se mêlait à la chaleur celtique, entre fête, sueur et fraternité.

D’ailleurs, les réactions en ligne ne s’y trompent pas. On lit « ambiance de malade du début à la fin », « un concert à voir absolument ». Fidèles à leur réputation, les Bostoniens ont ainsi rappelé pourquoi ils demeurent l’un des groupes live les plus fédérateurs au monde. Ce passage triomphal à l’Arkéa Arena restera comme un moment de pure communion avec une énergie aussi indomptable qu’humaine.

En première partie, Frank Turner and The Sleeping Souls ont ouvert le bal avec une énergie sincère et communicative. Fidèle à son savant mélange de folk et de punk, Frank Turner a embarqué le public bordelais. En effet, un set où se mêlaient rage, bienveillance et un sens inné du partage. Guitare à la main et sourire aux lèvres, Turner a ainsi rapidement transformé l’Arkéa Arena en un grand chœur uni autour de ses hymnes à la liberté et à la fraternité.

Entre deux morceaux, il a tenu à s’adresser au public exclusivement en français. En fait, une attention qui a conquis la salle, séduite par son humour et sa générosité. Frank Turner fait d’ailleurs les premières parties des Dropkick Murphys depuis 2012. C’est en véritable membre de l’équipage qu’il a, une fois encore, embarqué le public bordelais. Nous avons donc eu le plaisir de le rencontrer avant le concert pour une interview à découvrir très bientôt sur La Face B.

Toujours plus d’interviews et de photos de concerts dans La Face B

De plus, suivez Dropkick Murphys sur Spotify,  en live ou sur Instagram

Ensuite, Frank Turner & The Sleeping Souls sur Spotify,  en live ou sur Instagram

Decouvrez enfin toutes les interviews et portfolios d’Alexia dans La Face B

Laisser un commentaire