Samson et Jay – les co-pilotes de Bolides – et leur trap-pop mâtinée de R&B et d’électro aux accents ultra-romantiques, étaient sur le devant de la scène avec une dernière date à La Boule Noire la semaine dernière. L’occasion pour La Face B d’échanger avec eux sur ce qui fait l’essence de leur musique – toujours percutante, pour les oreilles comme pour le cœur...
La Face B : Revenons aux origines. Comment est né ce projet, Bolides ?
La Face B : L’amour de la vitesse, du son qui frappe fort, des punchlines qui percutent… C’est ça, L’ADN d’une bonne chanson de Bolides ? C’est quoi, la recette ?
Bolides : On essaye de ne pas trouver la recette, ou de la changer le plus souvent possible. L’ADN d’une chanson de Bolides, c’est peut être l’amour de la saturation, ou la saturation de l’amour.
La Face B : Votre 2ème EP paru cette année, Ruptures Futures, évoque beaucoup les sentiments et autre déceptions contingentes aux émotions fortes, celles-là même qui marquent l’entrée dans l’âge adulte et la décennie qui s’en suit. Est-ce une démarche cathartique ?
La Face B : Si vous deviez évoquer vos influences..?
Bolides : En ce moment on écoute beaucoup Makala, Billie Eilish, Barbara, The Weekend et Hubert Lenoir.
La Face B : Quel est votre rapport à la mise en images de vos chansons ?
Bolides : C’est très amusant et dépaysant pour nous. On co-écrit et on s’investit beaucoup dans la réalisation de nos clips avec Coraline Benetti (la réal de nos 5 derniers clips). C’est un monde assez fascinant et on aime beaucoup les tournages, fabriquer les décors, se lever tôt, manger des sandwichs… C’est aussi une manière d’apporter des indices d’interprétation aux morceaux, ou de leur donner une seconde lecture.
La Face B : Quelles sont les prochaines étapes ?
Bolides : Des concerts annoncés bientôt, et puis un album, qui sait ?