Format Court #12 : Social Animals, AaRON et Romain Muller

Chez La Face B, on adore les EP. On a donc décidé de leur accorder un rendez-vous rien qu’à eux dans lequel on vous présentera une sélection d’EP sortis récemment. Aujourd’hui, c’est au tour des EPs de Social Animals, AaRON et Romain Muller.

925 : Le Dreamscape Rock n’ Roll de Sorry

925, le premier album de Sorry est sorti il y a peu. Et après des mois d’attente les deux cool kids du nord de Londres sont là où on les attendait. L’opus est une pépite rock aux expérimentations électro et jazz avec une noirceur et des allures grunge tant soniques que visuelles

Room with a View, la lucarne avisée de Rone sur notre monde

Trois ans se sont écoulés depuis la sortie de Mirapolis, le dernier album de Rone, il revient aujourd’hui avec quelque chose d’autre, plus qu’un album c’est à la fois un spectacle et un regard posé sur notre société. A l’issue de la tournée de son quatrième opus, c’est à l’occasion d’une carte blanche donnée par le Théâtre du Châtelet que le projet Room with a View voit le jour, l’artiste a saisi l’occasion de délivrer une oeuvre complète pour essayer à sa manière de marquer les esprits.

CATHEDRALE – Houses Are Built The Same, fer de lance du post-punk français

Il devient difficile de ne plus les connaître. Alors qu’ils ont déjà partagé la scène avec Thee Oh Sees, Rendez-Vous et Frustration, les toulousains de CATHEDRALE, toujours aussi agités, crasseux et énervés, sortent leur troisième album. L’ambition de ce groupe faussement british semble de vouloir faire slammer la foule. Une volonté exaucée.

Kazy Lambist : Sky Kiss, épopée stellaire

Kazy Lambist s’est fait bien discret ces derniers temps, et a brisé son silence avec un nouvel EP de quatre titres, Sky Kiss. S’il vogue toujours dans la vibe électro-pop dans laquelle il s’est fait connaître, l’artiste nous présente un EP presque conceptuel qui prend vit au milieu d’un paysage cosmique et stellaire. 

« Sad Happy » : le diptyque de Circa Waves

Si « productivité » devait être la définition d’un groupe, nous trouverions Circa Waves. En effet, après dévoilé leur troisième album What’s It Like Over There? au printemps 2019 ainsi que l’EP What’s That Left Over There? quelques mois plus tard; le quatuor originaire de Liverpool a surpris ses fans fin novembre 2019 en annonçant un nouvel album pour le 13 mars 2020. Et pas n’importe quel opus. Ce dernier est décomposé en deux parties complémentaires : Happy et Sad.

Bons baisers du Québec #8 : Lighter Fluid, exploser comme Les Deuxluxes

Chez La Face B, la musique se vit sans genre ni frontière. Malheureusement, le monde est différent de nous. On a donc décidé de casser tout ça pour mettre en avant des artistes québécois qu’on adore. Entre jeunes pousses et artistes confirmés, Bons baisers du Québec, c’est le rendez-vous voyage chez nos cousins du Canada. Aujourd’hui, on part à la découverte de Lighter Fluid, œuvre explosive et féministe du duo Les Deuxluxes.

Rattrapage #2 : Fuudge, Saint DX, Dionysos, Volage

Autant se l’avouer, parfois on manque de temps. Alors des albums nous passent sous le nez, des albums qu’on aime mais dont on ne prend pas le temps de parler. On a décidé de contrer tout ça en lançant nos articles rattrapage ou l’on rient sur des albums des derniers mois qui nous on marqué. Aujourd’hui on vous propose de découvrir les derniers albums de Fuudge, Saint Dx, Dionysos et Volage.

Glass Museum – Reykjavik, majesté volcanique

Glass Museum by Barthélemy Decobecq

Le plat pays regorge de pépites, la théorie n’est plus à prouver. Nous en vient un énième exemple avec le premier album de Glass Museum, Reykjavik, qui s’inspire des contrées glacées et déchirées de l’Islande pour venir étaler une proposition dégoulinante de classe et d’inspirations majestueuses.

TOPS : I Feel Alive, une main tendue vers les beaux jours

Le quatuor montréalais est de retour avec son quatrième album, I Feel Alive, qui sent bon le renouveau, l’élévation après la destruction relationnelle, la réconciliation avec soi-même et l’espoir de jours meilleurs. Un album rayonnant duquel naît une musicalité lumineuse et solaire.

Ricky Hollywood, fantaisie nécessaire

En 2010, dans ce qui reste à ce jour son plus grand film, Rubber, Quentin Dupieux introduit ce qui deviendra son esthétique cinématographique : le No Reason. Selon lui, la vie, et donc l’art, est remplie de chose qui n’ont aucun sens. Dix ans plus tard, à contre-courant de ce dogme, Ricky Hollywood vient nous offrir son nouvel album, Le sens du sens, dans lequel il célèbre les petits riens de l’existence, ceux qui semblent avoir « no reason » mais qui finalement donnent du sens à l’existence. Une fantaisie nécessaire que l’on déguste avec amour.