Lauréats 2022#1 : Le Fair en trois questions

Sept Lauréats, trois questions et donc 21 réponses qui nous permettent de savoir comment les lauréats 2022#1 ont découvert le Fair et ce qu’ils attendent du dispositif. De leurs retours transparaissent les valeurs que souhaite porter le Fair, une bienveillance désintéressée dans un cadre professionnel et consciencieux.

Et puis, comme il faut battre le Fair tant qu’il est chaud, si vous êtes musicien et que vous souhaitez faire partie de la deuxième session des lauréats 2022, postulez avant le 31 mars à 12h (midi) !

Pour déposer un dossier il suffit de suivre le lien https://lefair.org/appel-a-candidature/

JOKO


LFB : Comment avez-vous connu Le Fair ?

Joko : Des copains artistes comme Oré, Arthur Ely ou FREEZ ont été lauréats. Quand je suis arrivée à Paris, il y a quelques années, c’était mon premier objectif : avoir Le Fair ! Regarde maman, j’y suis arrivée !

LFB : Qu’attendez-vous de votre passage au Fair, ou plutôt, de ce que pourrait vous apporter le Fair ?

Joko : Le Fair pour moi ça représente une équipe avec qui j’ai pas de contrats, qui n’a pas d’intérêt économique à m’aider et donc qui va avoir une approche presque plus « objective ». Une équipe qui a envie d’aider des artistes à leur début, c’est pas la partie la plus glamour et donc c’est méga précieux ! Ils nous conseillent et nous aident à aller vers là où on veut aller avec leur expérience et leurs contacts.

LFB : Si vous pouviez collaborer avec un(e) ancien(ne) lauréat(e) du Fair, qui serait il/elle et pourquoi ?

Joko : J’aimerais beaucoup collaborer avec Flavien Berger. Je trouve sa musique très touchante avec une multitude de références bien canons. Je l’ai vu en concert aussi et c’était trop classe.

NIKOLA


LFB : Comment avez-vous connu Le Fair ?

Nikola : Grâce à des amis lauréats des années précédentes.

LFB : Qu’attendez-vous de votre passage au Fair, ou plutôt, de ce que pourrait vous apporter le Fair ?

Nikola : Une aide sur la structuration. Qu’ils m’aident à transformer mon activité principale en profession. Que je puisse administrer correctement ma carrière.

LFB : Si vous pouviez collaborer avec un(e) ancien(ne) lauréat(e) du Fair, qui serait il/elle et pourquoi ?

Nikola : Pomme et Terrenoire car j’aime la positivité qu’ils dégagent musicalement et humainement, et je me ressens dans ce qu’ils transmettent.

OTTIS COEUR


LFB : Comment avez-vous connu Le Fair ?

Ottis Cœur : On a connu Le Fair via le bouche à oreille et les réseaux sociaux. 

LFB : Qu’attendez-vous de votre passage au Fair, ou plutôt, de ce que pourrait vous apporter le Fair ?

Ottis Cœur : On a pas mal de questions sur la structuration, notre planning et les stratégies de sorties. L’équipe du Fair nous aide là-dessus, on peut tout leur demander, ils sont au top. Ils ont aussi un large rayonnement ce qui nous permet de faire connaître nos chansons à d’autres. C’est aussi très enrichissant de rencontrer et d’échanger avec des artistes émergents qui évoluent dans des styles de musique différents.

LFB : Si vous pouviez collaborer avec un(e) ancien(ne) lauréat(e) du Fair, qui serait il/elle et pourquoi ?

Ottis Cœur : Mansfield Tya, Jeanne Added, La Femme, MNNQNS,… En vrai, on est ouvertes à toutes les collaborations. D’ailleurs, notre groupe est né de cette manière. Peu importe le style, il peut se passer des choses très intéressantes dans les échanges et les compromis. Ça nous sort clairement de notre zone de confort et nous ouvre des « portes créatives » que nous n’aurions jamais imaginé emprunter.

REŸN


LFB : Comment avez-vous connu le Fair ?

Reÿn : J’ai connu Le Fair via des amis artistes qui l’avaient gagné + ma manageuse 🙂 

LFB : Qu’attendez-vous de votre passage au Fair, ou plutôt, de ce que pourrait vous apporter le Fair?

Reÿn : Je pense que Le Fair (qui m’apporte déjà beaucoup sur le développement et l’accompagnement sachant que je prépare mon premier EP) peut être un super partenaire pour me soutenir durant la création et la sortie de mon premier EP. J’aimerais bien sûr que cela continue de m’apporter de la visibilité afin que le public et les auditeurs puissent arriver jusqu’à la musique ! Car je suis productrice de tout ce que je fais depuis le début. 

Et enfin, peut-être du soutien également sur le tour (avec mon tourneur Le Périscope) afin que l’on bosse en équipe et qu’on développe le live, car j’adore la scène !

LFB : Si vous pouviez collaborer avec un(e) ancien(ne) lauréat(e) du Fair, qui serait il/elle et pourquoi ?

Reÿn : Une collab avec un ancien lauréat, je dirais Benjamin Clementine 🙂 

GATHA


LFB : Comment avez-vous connu le Fair ?

Gatha : J’ai connu Le Fair par le bouche à oreille et le réseau professionnel de la musique. 

LFB : Qu’attendez-vous de votre passage au Fair, ou plutôt, de ce que pourrait vous apporter le Fair ?

Gatha : Une équipe de conseil forte et bienveillante, la rencontre avec d’autres artistes , un appui professionnel national . 

LFB : Si vous pouviez collaborer avec un(e) ancien(ne) lauréat(e) du Fair, qui serait il/elle et pourquoi ?

Gatha : Christine and the Queens pour son personnage et son côté hybride.

Eesah Yasuke


LFB : Comment avez-vous connu le Fair ?

Eesah Yasuke : C’est mon label Banzaï Lab qui a parlé de ce tremplin à mon manager Gauthier qui a son tour m’en a parlé et a monté le dossier de candidature.

LFB : Qu’attendez-vous de votre passage au Fair, ou plutôt, de ce que pourrait vous apporter le Fair ?

Eesah Yasuke : J’attends de ce dispositif un soutien supplémentaire sur les projets en cours et à venir, des avis des conseils sur certaines décisions à prendre dans le but d’élever le projet toujours plus haut !

LFB : Si vous pouviez collaborer avec un(e) ancien(ne) lauréat(e) du Fair, qui serait il/elle et pourquoi ?

Eesah Yasuke : Alors je dirais Benjamin Clementine pour le sublime, Jeanne Added pour la sensibilité et Reÿn pour la claque musicale que j’ai prise!

SACHA RUDY


LFB : Comment avez-vous connu le Fair ?

SACHA RUDY : J’ai connu Le Fair sur Internet. Je cherchais des dispositifs pour m’aider à faire passer mon projet à l’étape d’après et celui-ci était parfait ! 

LFB : Qu’attendez-vous de votre passage au Fair, ou plutôt, de ce que pourrait vous apporter le Fair ?

SACHA RUDY : Transformer le bricolage en artisanat. Je suis devenu lauréat du Fair en même temps que je sortais mon premier EP. Mon but, maintenant, est de rendre mon projet plus construit, plus fort, et pour cela le Fair est un allié exceptionnel.

LFB : Si vous pouviez collaborer avec un(e) ancien(ne) lauréat(e) du Fair, qui serait il/elle et pourquoi ?

SACHA RUDY : Ce serait Christine and the Queens. C’est l’artiste qui en France a réussi à pousser la pop le plus loin, par la danse, la production, les textes qui passent du français à l’anglais avec fluidité. Mais surtout on sent qu’elle se plonge totalement dans sa musique et c’est quelque chose qui m’inspire beaucoup.

Retrouver Le FAIR sur la Face B :
Rencontre avec Julien Soulié – Directeur du FAIR 
(Portfolio) Fair Party#17 – Ottis Coeur / JOKO / Reÿn / Eeshula Yasuke / Sacha Rudy / Nikola / Gatha