En ce dimanche soir gris et humide, c’est sur les pavés glissants le long du canal de l’Ourcq que nous prenons la direction du Zénith de Paris afin de nous faire administrer une bonne dose de vitamines par l’un des groupes le plus rayonnants d’Australie, Parcels. L’électro pop des jeunes australiens, aujourd’hui Berlinois d’adoption, est un remède des plus efficaces contre la sinistrose qui nous gagne en ces jours déclinants, et la grosse heure et demie qui nous est offerte en leur compagnie a de quoi nous donner le sourire pour aborder le tant redouté « lundi matin au bureau ».
C’est un Zénith complet, à l’image des autres dates en Europe et au Royaume-Uni, qui accueille le quintet qui, comme à l’accoutumée, se présente à nous tout sourire et débordant d’énergie. Nous ayant en cette fin d’été sauvé la journée du dimanche lors du festival Rock En Seine, où ils ont alors eu les honneurs de la grande scène, Louie, Patrick, Noah, Anatole et Jules y avaient fini de convaincre ceux qui n’avaient pas encore fait l’acquisition de leur billet pour ce concert, qui célèbre à juste titre leur succès aujourd’hui mondial.
C’est un Zénith complet, à l’image des autres dates en Europe et au Royaume-Uni, qui accueille le quintet qui, comme à l’accoutumée, se présente à nous tout sourire et débordant d’énergie. Nous ayant en cette fin d’été sauvé la journée du dimanche lors du festival Rock En Seine, où ils ont alors eu les honneurs de la grande scène, Louie, Patrick, Noah, Anatole et Jules y avaient fini de convaincre ceux qui n’avaient pas encore fait l’acquisition de leur billet pour ce concert, qui célèbre à juste titre leur succès aujourd’hui mondial.
Les plus anciens afficionados se souviennent avoir découvert ces jeunes musiciens inventifs dans des salles et des festivals beaucoup plus modestes. C’est donc un cheminement logique et une montée en puissance avérée qui ouvrent les portes du Zénith au groupe, ce dernier ayant dorénavant plus de moyens pour mettre en scène leur musique tout aussi dynamique que planante.
Prenant place dans la pénombre, sur une estrade légèrement surélevée qui les verra pour une bonne moitié du set tous les cinq réunis en plein cœur de la scène, jouant avec leur ombre et avec les photographes, devant user de moults subtilités pour immortaliser ce début de concert, le groupe démarre les hostilités avec le morceau devenu un must dans leur répertoire Lightenup. Prolongeant les plages instrumentales, et déroulant le set quasi sans interruption, Parcels se déploient petit à petit sur la scène du Zénith qui s’avère à la bonne taille pour accueillir les nombreux instruments sur lesquels vont s’amuser ces joyeux touche-à-tout.
Prenant place dans la pénombre, sur une estrade légèrement surélevée qui les verra pour une bonne moitié du set tous les cinq réunis en plein cœur de la scène, jouant avec leur ombre et avec les photographes, devant user de moults subtilités pour immortaliser ce début de concert, le groupe démarre les hostilités avec le morceau devenu un must dans leur répertoire Lightenup. Prolongeant les plages instrumentales, et déroulant le set quasi sans interruption, Parcels se déploient petit à petit sur la scène du Zénith qui s’avère à la bonne taille pour accueillir les nombreux instruments sur lesquels vont s’amuser ces joyeux touche-à-tout.
A grand renfort de synthétiseurs montés sur roulettes pour permettre une scénographie modulable, sous un lightshow tout en contrastes venant soit plonger les membres du groupe dans une pénombre un peu mystique (où l’on verra ainsi les cinq Parcels face au public chanter avec des effets remémorant le mythique clip de Bohemian Rhapsody de Queen), soit les baigner dans des lumières fluorescentes mettant en exergue leur dream pop toute en légèreté, recherchée dans ses arrangements et particulièrement addictive. Toute aussi plaisante sur disque qu’en live, nous retrouvons une setlist qui fait la part belle au dernier double album Day/Night sorti l’an passé, qui a surpris par sa richesse et sa technicité.
Ce sont néanmoins les Parcels funky, groovy et flamboyants que nous apprécions retrouver sur scène, et la fosse ainsi que les gradins transforment la salle, à l’unisson, en un gigantesque dancefloor, grâce aux titres qui font l’unanimité, tels Gamesofluck, Comingback, Tieuprighnow ou l’hypnotique Bemyself, qui nous surprend d’ailleurs à nous imaginer encore les doigts de pied en éventail, échoués sur une plage quelque part au soleil. Le chant en canon si mélodieux du groupe est bien présent, ainsi que les pas de danse et autres chaloupés de hanches réhaussés par les tenues ultra vintage et stylées qui leur assurent un accueil des plus enthousiastes de la part du public. Particulièrement heureux d’être présents et touchés par ce public venu en nombre les applaudir pour ce qui est leur premier « gros » concert parisien, Parcels ont été intronisés dans la cour des grands avec brio, tout en maintenant cette fraîcheur liée à leur bonne humeur toujours aussi communicative, quelle que soit la taille de l’auditoire leur faisant face.
Ce sont néanmoins les Parcels funky, groovy et flamboyants que nous apprécions retrouver sur scène, et la fosse ainsi que les gradins transforment la salle, à l’unisson, en un gigantesque dancefloor, grâce aux titres qui font l’unanimité, tels Gamesofluck, Comingback, Tieuprighnow ou l’hypnotique Bemyself, qui nous surprend d’ailleurs à nous imaginer encore les doigts de pied en éventail, échoués sur une plage quelque part au soleil. Le chant en canon si mélodieux du groupe est bien présent, ainsi que les pas de danse et autres chaloupés de hanches réhaussés par les tenues ultra vintage et stylées qui leur assurent un accueil des plus enthousiastes de la part du public. Particulièrement heureux d’être présents et touchés par ce public venu en nombre les applaudir pour ce qui est leur premier « gros » concert parisien, Parcels ont été intronisés dans la cour des grands avec brio, tout en maintenant cette fraîcheur liée à leur bonne humeur toujours aussi communicative, quelle que soit la taille de l’auditoire leur faisant face.
Setlist :
Lightenup
Gamesofluck
Comingback
Tieduprightnow
Theworstthing
Shadow
LordHenry
Overnight
Groovejet (Spiller cover)
Euphoric Outro
Bemyself
Light (Chorus)
Famous
Once
IknowhowIfeel
Hideout
EDM
Somethinggreater
Free
Lightenup
Gamesofluck
Comingback
Tieduprightnow
Theworstthing
Shadow
LordHenry
Overnight
Groovejet (Spiller cover)
Euphoric Outro
Bemyself
Light (Chorus)
Famous
Once
IknowhowIfeel
Hideout
EDM
Somethinggreater
Free