Le Radiance revient illuminer votre rentrée 2025

Du 9 au 11 septembre, La Boule Noire ouvre ses portes pour la deuxième édition du Festival Radiance. Un événement en plein Paris, deux scènes mythiques, une programmation émergente, éclectique et internationale… Les raisons de ne pas passer à côté du Radiance sont nombreuses. Pour vous faciliter la tâche, on vous en a sélectionné trois. 

Certes, à la mi-juillet, on a assez peu envie de penser à la rentrée. Loin de nous l’idée de vous ôter prématurément votre spritz des mains, mais si on vous disait que septembre ne rimait pas qu’avec retour au bureau et pré-déprime de l’hiver ? Pour la deuxième année consécutive, La Boule Noire nous permet de prolonger un peu la saison (f)estivale en organisant le Radiance du 9 au 11 septembre. Voici trois bonnes raisons de s’y rendre.

Une ambiance de festival en plein Paris

Pendant 3 jours, vous pourrez découvrir les projets coups de cœur des équipes de programmation de la salle, venu.e.s de France et du monde. Les concerts auront lieu entre La Boule Noire et une scène intimiste de La Cigale. Deux salles historiques qui ont vu défiler des générations d’artistes émergent·e·s et confirmé·e·s.

L’élargissement du Radiance au-delà de La Boule Noire, dans un quartier où la musique est omniprésente, devrait créer une véritable ambiance de festival en plein Paris. Et rendre plus supportable le retour à la capitale pour les vacanciers qui avaient pris le large.

Crédits photo : Vassili Feodoroff

L’expérimentation à l’honneur

Crédits photo : Vassili Feodoroff

Au-delà d’être une scène mythique, La Boule Noire est connue pour son rôle de dénicheuse de talents. Le Radiance est, selon les mots de Laure Togola, programmatrice de la salle, l’occasion de « rappeler que la découverte est dans [son] ADN ». 

Cette année, l’accent est mis sur le « DIY », l’artisanal. Concrètement, à quoi peut-on s’attendre ? Des projets musicaux qui s’extraient des contraintes de genres qui enferment et appauvrissent le son. Des formations aux esthétiques variées, qui partagent le plaisir d’expérimenter, en studio et sur scène. Et des représentant.e.s d’une nouvelle génération d’artistes, souvent auto-produit.e.s, indépendant.e.s et toujours libres.

Une chose est sûre, il y en aura pour tous les goûts. Entre l’électro expérimentale de No Plexus, le post-punk-disco de Lézard, le RnB alternatif de Magi Merlin et la bedroom pop de megateuf, vous êtes sûrs de trouver votre bonheur et de découvrir de nouvelles sonorités.

En d’autres mots, le Radiance est une bonne occasion de sortir des bulles algorithmiques et d’ouvrir vos horizons musicaux. 

Une programmation engagée et diverse

Les projets portés par des femmes sont majoritaires dans la programmation de cette deuxième édition du Radiance. (C’est suffisamment rare pour être souligné.) Au-delà de cette mixité, une diversité de parcours, d’origines et d’esthétiques fait la richesse du festival. 

Parmi les artistes qu’on se réjouit de découvrir sur scène, on trouve Natya, rappeuse d’origine malgache qui réalise ses prod dans sa chambre.

Tout le monde s’appelle Clara, formé de 5 musiciennes-compositrices qui parlent d’amour et d’identité dans un live sensible et énergique.

Céline Dessberg et sa pop-folk franco-mongole traversée de yatga (harpe traditionnelle mongole).

La multi-instrumentiste marocaine Gaouta, qui propose un post-punk chanté en Darija (arabe dialectal marocain).

Mais aussi l’inclassable Jeune Oji, qui lance son projet solo instrumental après avoir produit des artistes comme Gringe et So La Lune.

Kalupto – Radiance 2024 / Crédits photo : Vassili Feodoroff

La liste est longue, mais on vous laisse retourner à votre spritz – sans toutefois oublier de réserver vos billets pour le Radiance 2025 par ici

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