Vipères sucrées salées (le jour où j’ai réalisé que j’étais une langue de…)

On a écouté l’EP, pas mal de fois. À l’intro, on a maugréé. « Un groupe de garçons, qui fait de la musique de garçons ». C’est qu’on attendait l’insolence facile ; les Oï ! crachés depuis les pentes (glissantes) de la Croix-Rousse, symptomatiques relents d’une adolescence finissante biberonnée à Siglo XX. On l’avoue : il ne nous aura fallu que quelques mesures pour admettre notre erreur…