Playlist : Août 2019
Chaque fin de mois, La Face B vous offre 20 titres qui nous auront fait vibrer tout au long de celui-ci.
Chaque fin de mois, La Face B vous offre 20 titres qui nous auront fait vibrer tout au long de celui-ci.
Avec bons baisers du Québec, La Face B t’invite à découvrir la musique des cousins du Canada. Premier voyage avec le groove incandescent de Of Course
Dans Carnet de Voyage, La Vague Parallèle se glisse dans les valises de ses artistes favoris et les suit dans leurs pérégrinations aux quatre coins de la planète. Aujourd’hui et ce après le voyage de Suzane en Chine, nous restons du côté de l’Asie pour nous intéresser au passage de Charlotte Fever en Corée du Sud.
On n’osait plus vraiment l’espérer. Onze ans d’attente et d’espérance mais on peut enfin le dire avec joie : The Raconteurs sont de retour. Après deux albums éblouissants et toujours aussi actuels, le groupe de Nashville débarque donc avec Help Us Stranger, douze titres qui sentent le souffre, l’amour de la musique et les guitares. On a donc saisi avec plaisir la main tendue de ces quatre garçons qui ont le rock au cœur.
Auteure, poétresse, romancière, femme de théâtre, Kate Tempest est une artiste comme il en existe peu. Cette amoureuse des mots revient aujourd’hui avec The Book Of Traps And Lessons, trois ans après un incendiaire Let Them Eat Chaos, la jeune femme n’a rien perdu de sa verve et de son talent mais transforme son jeu pour enfoncer définitivement le clou et en profiter pour éclater la planche.
À chacun son cadeau d’anniversaire. Si certains rêvent de voyages, de grosses fêtes ou de voiture, d’autres ont des rêves plus pragmatiques. Pour ses 21 ans, Steve Lacy a donc décidé de s’offrir une chose toute simple : son premier album solo. Il s’appelle Apollo XXI et il est plus ou moins tout ce qu’on pouvait espérer du garçon. On a vraiment de la chance, il a décidé de partager ce cadeau avec nous.
En retard. Tout le temps. C’est un peu nous, ça. Mais juré, on est bien décidés à se rattraper. On commence donc avec notre interview de Hyacinthe. On avait rencontré le garçon peu avant la sortie de son très bon RAVE. Ce soir, il fera monter la température de la Maroquinerie. Le moment idéal pour vous dévoiler cette conversation où l’on parle de RAVE justement, de ses besoins d’explorations et de mise en danger et de ce que le rap français est devenu en 2019.
Depuis plus de 30 ans, le prix Société Ricard Live Music sort de son chapeau chaque année un artiste sur lequel il a décidé de miser. Connu et reconnu, ce prix permet au gagnant d’effectuer une tournée française mais aussi de sortir un premier EP dans des conditions optimales. Alors que les précédentes années faisaient sonner les guitares, avec MNQNS et Lysistrata notamment, c’est un chemin différent que l’année 2019 a décidé d’emprunter. Ils s’appellent DAMPA, ils viennent de dévoiler la deuxième partie de leur EP Color/Blind et on vous en parle juste en dessous.
En ce 10 avril, la pluie a décidé d’accompagner nos pas tombant sur notre blouson depuis un ciel gris et terne aux couleurs de l’automne. La veille, on avait à nouveau croisé la route d’Hervé sur scène, en première partie de Cléa Vincent et c’est dans un café à l’ancienne qu’on le retrouve ce jour-là. L’occasion de le découvrir un peu plus et de parler de son premier EP Mélancolie FC, de son amour pour Bashung et Christophe et de son esthétique très travaillée. Rencontre avec un garçon qui a des choses à dire et à vivre.
Avant toute chose, on voudrait faire un petit mea-culpa pour le retard. C’est fin février qu’on a rencontré Rendez Vous à Lille. On s’est posé avec eux pour parler de leur premier album Superior State. C’est dans leur loge juste avant un concert qui s’avérera incroyable qu’on les a rencontrés. Un entretien à l’image de leur musique : frontal et sans filtre. Morceaux choisis.
S’il y a bien un mot qui nous revient en tête lorsqu’on pense à Local Natives, c’est l’émotion. Depuis dix ans, le groupe a toujours su tirer de sa musique la sève qui pousse vers la chair de poule pour nous offrir des petites pastilles pop que l’on écoute à l’infini sans jamais vraiment s’en lasser. Les voilà aujourd’hui de retour avec Violet Street, un album intimiste et porté par l’amour qui marque une nouvelle étape réussie dans la carrière des Californiens.
Il y a parfois des albums qu’on aime mais dont on a énormément de mal à parler. Des albums sur lesquels il y a beaucoup à dire mais dont on ne trouve pas le bon angle d’ouverture. Mais finalement, on a tellement envie d’en parler qu’on essaie de trouver un moyen différent d’exprimer ce qu’on a à dire. Aujourd’hui, j’ai décidé de troquer le « on » par le « je » et d’écrire une lettre à Loyle Carner pour parler de Not Waving, But Drowing.