Rencontre avec KingJu de Stupeflip
Il parait qu’il ne faut jamais rencontrer ses idoles, on a décidé de ne pas suivre cet adage en interviewant longuement KingJu de Stupeflip.
Il parait qu’il ne faut jamais rencontrer ses idoles, on a décidé de ne pas suivre cet adage en interviewant longuement KingJu de Stupeflip.
Encore jeune dans le game, Palmae vient de sortir Blue Velvet, un EP qui est aussi l’occasion d’en apprendre un peu plus sur ses influences musicales.
On a déjà dû le dire, mais si on écrit, c’est pour rencontrer les gens qu’on admire. Et pour être tout à fait honnête, dans notre esprit, Disiz La Peste est bien au-delà de l’admiration. On l’a aimé, on l’a perdu, on l’a retrouvé. Notre relation avec Disiz pourrait se rapprocher d’une amitié. Toujours est-il qu’il est dans nos vies depuis presque 20 ans. On était donc à la fois excité et anxieux à l’idée de le rencontrer, surtout pour un album aussi important que Disizilla. On s’est donc posé après son concert à Lille pour parler de souvenirs, du fait de devenir un monstre et de musique forcément.
Non on avait pas loupé Disizilla, l’album de Disiz La Peste. Seulement on a pris le temps de le digérer, le comprendre et l’aimer encore plus qu’après sa première impression dévastatrice. Alors qu’il s’apprête à brûler la scène des Trans Musicales, on s’est dit qu’il n’était pas trop tard pour s’intéresser à cet album mais aussi à cet artiste à nul autre pareil, Disiz La Peste, Kaiju du rap français.