Océane Briand

Férue de rock indé. Pleure à chaque concert de Phoenix et d'Arcade Fire. Trouve satisfaction du côté des talents émergents et puise son inspiration dans l'implicite des émotions.

Parcels : “On a l’ambition de devenir un grand groupe”

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Aujourd’hui, les australiens de Parcels dévoilent leur second album Day/Night, un album fait de contrastes où le corps et l’esprit, la lumière et l’obscurité se mêlent pour ne faire qu’un. C’est d’ailleurs à cette occasion que nous sommes allés à la rencontre de deux des membres du groupe, Anatole (batteur) et Noah (bassiste), pour un entretien des plus passionnants où on y a parlé de leur collaboration avec l’illustre compositeur canadien Owen Pallett, de leur relation avec la succès ou encore de leur besoin (partiellement assouvi) de se reconnecter à l’Australie et son Histoire. Retour sur cet échange.

Martin Luminet : “Je suis supporter de l’imperfection”

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Il y a quelques jours, Martin Luminet a sorti son premier EP intitulé MONSTRE. C’est donc à l’occasion de cette sortie que nous sommes allés à sa rencontre afin d’y parler de l’influence du cinéma sur sa sensibilité artistique, du rôle salvateur de la musique, de l’universalité de l’intime et tant d’autres. Retour sur cet échange.

TERRIER : “Il y a une urgence dans mes chansons que je veux garder”

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Il y a peu, TERRIER dévoilait son tout premier EP intitulé Naissance. C’est d’ailleurs à l’occasion de cette sortie que nous sommes allés à sa rencontre pour parler de son passage à l’âge adulte, de l’urgence de ses textes et de son attrait non négligeable pour l’indépendance artistique. Retour sur cet échange.

ADN #239 : Zoo Baby

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Aujourd’hui, le canadien Zoo Baby nous présente son ADN fait d’artistes qui ont grandement influencé sa direction artistique, allant des Beatles aux Spice Girls.

La Femme : “La nuit c’est le mystère, c’est nous”

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C’est à l’occasion de la sortie de leur troisième et énigmatique album Paradigmes, que l’on a rencontré l’une des deux têtes pensantes de La Femme : Marlon Magnée. Retour sur cet échange décomplexé où l’on y parle ivresse de la nuit, nostalgie des beaux jours et d’une réalité qui peut basculer à tout moment.